
Le cri de Nicolas Beuglet
J’avais également l’impression de regarder un film en lisant Le cri de Nicolas Beuglet, point fort du roman. Agréable à lire, pages qui défilent rapidement, même pas le temps de perdre la raison ou de claquer des dents à l’hôpital de Gaustad (Oslo) comme je m’imaginais au départ. L’auteur nous emmène loin, pas le temps de tergiverser, de l’action, et il s’agit de se dépêcher de résoudre une affaire de haute importance avec l’inspectrice Norvégienne Sarah Geringën. La couverture du livre me laissait imaginer une sorte de huis-clos dans l’hôpital. En réalité, pas du tout. Les chapitres sont courts, se lit rapidement.
« Quatre-vingt pour cent des faits que vous avez lus sont vrais donc ça peut vous donner envie de creuser et de vous dire : Ah d’accord, il s’est quand même passé des choses de ce niveau-là et j’étais pas au courant. » (interview video-BePOLAR TV).
D’où venons-nous, que devient notre âme après la mort ? Et ce cri « ni d’aujourd’hui, ni d’hier… » Quel est-il ? D’où vient-il ? Jusqu’où peut-on aller dans le contrôle de l’esprit ?
Nicolas Beuglet s’est inspiré d’un film métaphysique, The fountain de Darren Aronofsky (👌) Il s’est aussi beaucoup documenté sur la période de la guerre froide. J’ai passé un bon moment avec ce thriller dynamique des Édition XO.
crayon de couleuvre
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