J'ai lu

Celle que j’aimais de Park min-kyu

« Si nous sommes aussi introuvables l’un pour l’autre que des grains de sable éparpillés, il nous restera la possibilité de nous laisser emporter par le vent. »😍
🌿J’ai lu Celle que j’aimais de Park Min-kyu, traduit du Coréen par HWANG ji-young et Jean-Claude de CRESCENZO.

« Elle était là, debout sous la neige. »

Ce roman n’est pas seulement une histoire d’amour entre le narrateur et une jeune fille mélancolique. C’est aussi une critique de la société Coréenne des années 80, du capitalisme.
🌿Trois jeunes personnages principaux (la vingtaine) que sont le narrateur, une jeune fille très laide, « son infante à lui morte par impossibilité de la retrouver » et Yohan son collègue de travail, alternent dans ce récit dont j’ai surtout aimé les paysages intérieurs à découvrir, à ressentir, les silences, l’obscurité, la délicatesse. Certains passages sont magnifiques, comme lors des premières neiges…💙
« Un silence mystérieux s’est dressé entre elle et moi, pareil à une mer argentée resplendissant au soleil. Le bruit des vagues mêlé à celui de nos souffles et la fine écume qui se brisait en allant et venant humecta le sable fin dans mon tympan, ça, je suis sûr de l’avoir entendu. »
🌿Une très bonne surprise mêlant poésie contemplative, romantisme, nostalgie et nombreuses réflexions, le tout agrémenté de références musicales. (Neil Young, Les Beatles, Maurice Ravel…) A lire pour ralentir au diapason de notre âme, si vous aimez la littérature Sud-Coréenne ou si vous souhaitez la découvrir. J’ai adoré ce roman Coréen. 💙🙂
Service presse avec les Éditions Decrescenzo. Merci à Lisa.

 

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