J'ai lu,  PAL/Brocante

L’insoutenable légèreté de l’être de Milan Kundera

Le roman qui a accompagné ma semaine avec son lot d’émotions : L’insoutenable légèreté de l’être de Milan Kundera. Paru en 1982 dans son pays natal, Il est traduit et publié en 1984 en France aux éditions Gallimard. Traduit du tchèque par François Kérel. 394 pages. Editions Gallimard, Du monde entier.

Quel sens donner à notre vie ?
Quels sont nos désirs profonds ?
Que restera-t-il de nous une fois morts ?
Entre légèreté et pesanteur, entre désir inconscient, hasard des rencontres et conventions sociales dans une Tchécoslovaquie des années 70 sous pression, le narrateur raconte les destins de Tomas, Tereza, Sabina, Franz, Marie-Claude et du petit Karénine. Intime.
« Muss es sein ? Es muss sein. Le faut-il ? Il le faut. »
Oui, il le faut. Il faut lire ce roman qui offre de belles réflexions sur la fraternité, la compassion, le pardon, le rêve, l’homme et l’animal, la prédestination, l’âme et le corps, l’amour et la mort, la bonté.
Universel.
Comment la véritable bonté de l’homme peut-elle s’exprimer alors?  Peut-il encore prétendre au bonheur ?
La dernière partie, intitulée Le sourire de Karénine est ma préférée.
Un roman qui plaira aux âmes mélancoliques et poétiques, inoubliable. Le hasard d’un matin de brocante. Un coup de coeur absolu. 💛
Il est temps de passer à une autre lecture.

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