Kyoto de Yasunari Kawabata

« Quel silence ! On dirait à peine de la neige. Vraiment légère, légère…». Cent quatre-vingt-douze pages. Littérature Japonaise asiatique. D’une tristesse raffinée. La nature tient une place de choix dans le cœur de l’auteur. A chaque saison ses fleurs et les ombres qui les recouvrent. Poétique. Des balbutiements du Printemps aux tristesses infinies de …